Développement durable
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Chez La Salamandre Assurances, nous croyons fermement en la vision d'un avenir meilleur pour notre planète. Nous sommes conscients de l'impact que le secteur de l'assurance peut avoir sur l'environnement, notamment par ses investissements et son portefeuille d’actifs. C'est pourquoi nous nous engageons activement à jouer un rôle positif dans la préservation de notre précieux écosystème.

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Notre objectif est de promouvoir la performance environnementale de notre secteur, en soutenant des pratiques responsables et durables dans tous les aspects de notre activité.

Pour lutter contre les effets du changement climatique et en maitriser les risques, La Salamandre s’engage sur deux axes prioritaires :

Réduire notre propre impact environnemental

Cela passe en premier lieu par la détermination de la quantité de gaz à effet de serre émis par les activités de La Salamandre. En 2022, nos émissions de gaz à effet de serre s’élevaient à 12 T de CO2 équivalent sur les Scope 1, 2 et 3. . Cette analyse a permis l’identification et la mise en place de pratiques internes écoresponsables, telles que la réduction de notre consommation d’énergie, la promotion des transports durables pour nos collaborateurs, et la gestion responsable des achats. La Salamandre s’engage à compenser ses émissions résiduelles par l’achat de crédits carbone générés par des projets de réduction qui absorbent les émissions de CO2.

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Promouvoir la décarbonation des activités de nos partenaires assureurs

Le plus gros de la responsabilité climatique du secteur de l’assurance se situe dans les émissions financées par les investissements des assureurs. Ainsi, nous analysons la performance climat du portefeuille d’investissement de nos partenaires que nous mettons en avant dans le choix des solutions d’assurance et dans notre conseil. Nous concentrons notre analyse sur cinq indicateurs clés, comparables entre assureurs.

Les émissions financées sont les émissions résultant des financements ou assurances accordés. Par exemple, si l’assureur finance un constructeur de bâtiment, elle contribue aux émissions de CO2 de ce constructeur. Pour contribuer à la transition écologique, les acteurs de l’assurance doivent donc évaluer comment leurs investissements contribuent au développement d’activités polluantes ou au contraire d’activités durables.

Les émissions de gaz à effet de serre (GES) sont réparties en trois scopes : Le scope 1 représente les émissions directes de GES produits par l’entreprise. Le scope 2 correspond aux émissions indirectes liées à l’énergie, mais qui ne se produisent pas directement sur le site de l’entreprise. Enfin le scope 3 est lié aux émissions indirectes dans la chaine de valeur amont et aval qui ne sont pas sous le contrôle direct de l’entreprise. Le Scope 3 représente plus de 90% des émissions du secteur de l’assurance, d’où l’importance de le calculer ou de l’estimer lorsque les données ne sont pas disponibles.

Il ne suffit pas de calculer son impact climatique, mais de mettre en place des objectifs et une stratégie de décarbonation du portefeuille d’actifs. Un bon objectif de décarbonation s’applique sur le court, le moyen et le long terme. Il doit inclure les trois scopes de GES et être indépendant des émissions évitées ou compensées. Finalement, il doit être en phase avec les engagements de l’Accord de Paris.

L’accord de Paris est un accord international pour limiter le réchauffement climatique. Les Etats signataires s’engagent à contenir la hausse de température en-dessous de 2°C tout en maintenant leurs efforts pour la maintenir à 1.5°C. Pour réaliser les objectifs de l’accord, les États signataires sont appelés à atteindre la neutralité carbone. Un équilibre doit donc être trouvé entre les GES émises et celles séquestrés par les réservoirs ou les puits de carbone. Dans le cadre du Pacte Vert pour l’Europe, l’Union Européenne s’est fixé l’objectif d’atteindre la neutralité carbone en 2050 et s’est engagée pour cela à réduire ses émissions nettes d’au moins 55 % en 2030 par rapport à 1990.

Le charbon génère 44 % des émissions mondiales de CO2. Lorsqu’il est brûlé pour produire de la chaleur ou de l’électricité, il dégage plus de deux fois plus de gaz carbonique que le gaz naturel. Le désinvestissement des mines ou centrales à charbon est donc un élément clé de la transition énergétique.

Résumé de l’impact des partenaires

Le graphique ci-dessous résume l’état actuel des partenaires assureurs de La Salamandre en 2021, tel que déclaré dans leur rapport de durabilité publié en 2022.  S’engager pour le climat est un cheminement de long terme et nombreuses de ces entreprises ont mis en place des plans d’actions pour accélérer leur engagement vers le changement climatique.  Le graphique sera mis à jour à la publication annuelle de la performance climat des partenaires assureurs.